Exemple flagrant de l’absence de réflexion de nos dirigeants.
Si le maire actuel avait opté pour notre proposition, faire construire la caserne des pompiers sur le terrain de la carrière de la Cruella, là où il y en aura de toute façon besoin, nous aurions eu, sur la route du Mont des Mules, du terrain pour construire des logements.
En effet, nous vous rappelons qu’avec leur gestion nous allons dépasser les 3.500 habitants. Ce qui veut dire que bientôt il faudra prévoir des centaines de logements, on ne sait où, faute de places, pour recevoir on ne sait qui, à moins de payer à l’Etat une rente à vie.
Les terrains municipaux constructibles se font rares sur notre commune. Celui-ci permettait de faire un beau lotissement. Mais non, obéissant aveuglément et servilement à son mentor Bassani, le nouveau maire persiste et signe la construction de la future caserne des pompiers sur ce terrain. Sachant que dans quelques années il faudra de toute manière la déplacer à la Cruella, la loi l’obligeant. Pour couper court aux commentaires de ceux qui vont dire « ouais, chez Aapod, vous savez parler mais vous n’agissez jamais », sachez que nous avions proposé cette alternative à l’ancien maire à l’époque de l’élaboration du projet. Il l’avait bien entendu rejetée, comme toute idée ne venant pas de lui. Nous l’avions alors proposée au Conseil Général qui, lui, l’avait trouvée intéressante. Construire la caserne des pompiers à l’endroit où elle devra se trouver dans quelques années est plus simple et moins couteux que d’en construire une en attendant, et en faisant perdre la possibilité d’utiliser le terrain pour autre chose. D’autant que cet endroit est mal placé, dangereux, accidentogène, nous en avions déjà parlé auparavant.
En bref, cette équipe dirigeante n’a aucune vision de l’avenir de La Turbie. Elle continue à faire ce qu’elle fait depuis vingt ans maintenant, et c’est la seule chose qu’elle sache faire : elle pratique de la gestion à la petite semaine avec toutes les conséquences dramatiques que cela implique forcément et qui se répercutent déjà sur nous de manière amplifiée.